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L’homme ne s’est pas limité à copier l’anatomie des oiseaux pour pouvoir voler, il s’est aussi inspiré de son comportement :
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Comparaison d’un amortisseur d’avion avec des pattes d’oiseaux.
La ressemblance entre l’oiseau et l’avion est flagrante : les pattes d’oiseaux sont faites en 3 parties par 2 rotules, comme si c’étaient des ressorts. Pour l’avion, il s’agit d’un tube télescopique qui sert d’amortisseur (voir II)
Le comportement pour le décollage :
Certains oiseaux doivent prendre de la vitesse pour pouvoir décoller ; les avions font de même. L’avion et l’oiseau se cabre, de manière à mieux « perforer » l’air. Ce sont les 2 manières essentielles du décollage. L’oiseau bat des ailes, tandis que l’avion se sert de la portance au niveau de ses ailes.
Le comportement pour l’atterrissage :
Il en est de même pour l’atterrissage : l’avion perd de l’altitude en diminuant sa vitesse, se cabre, puis touche terre, et l’oiseau fait de même, mais se sert du vol battu pour achever sa manœuvre d’atterrissage.
Le comportement aérien :
En vol, l’oiseau se sert des courant d’air pour se déplacer, reprendre de l’altitude, et les planeurs font de même. Les avions, comme les gros porteurs, doivent garder, comme vu précédemment, leurs moteurs en marches pour ne pas perdre d’altitude.
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